Gustave Kahn, évoquant le travail de Chana Orloff dans les feuillets d'art, 1922
« Le modernisme n‘est pas affaire d'oripaux ; mais il s‘agit de dégager des êtres et des choses une transcription qu'on n‘ait pas encore vue, de trouver un degré d'acuité nouveau […] par la présence dans les méthodes d'un goût savoureux et imprévu. »